Retraite complémentaire : comment et quel placement retraite pour avoir plus ?
Constituer une retraite complémentaire sera indispensable pour de nombreux actifs.
Le système de retraite en France a été peu à peu mis en place à partir de 1945, la date où le régime général a été créé.
À l’époque, l’État a prévu que tous les régimes seront intégrés dans ce régime général qui rassemble les personnes qui travaillent dans le secteur privé. Mais finalement, des régimes autonomes ont été créés pour les travailleurs non-salariés. Ainsi, en France, les régimes de retraite diffèrent selon que le salarié appartienne au secteur privé, public ou non salarié.
En 2017, c’est le régime général qui couvre le plus grand nombre d’actifs avec 68,4% d’actifs. Dans ce groupe, il y avait 18,11 millions de cotisants et 14,1 millions de retraités. Cette même année, le secteur public comportait 18,3% d’actifs et les régimes des non-salariés représentaient 10,5% de la population active.
Par ailleurs, il y a deux régimes de retraite qui sont obligatoires : la retraite de base et la complémentaire. C’est le principe de la répartition qui régit les retraites obligatoires en France. Dans ce principe, ce sont les actifs d’aujourd’hui qui cotisent pour financer la retraite des aînés. Si ce système comporte des avantages comme la solidarité qui existe entre retraités et actifs, entre les secteurs d’activités, ainsi que la protection contre les aléas conjoncturels, il comporte en outre des limites.
L’inconvénient majeur de la retraite par répartition, c’est la proportion du nombre d’actifs par rapport au nombre croissant des retraités.
Ce point faible fait que s’il y a des crises qui se répercutent sur le niveau d’emploi (licenciements massifs, blocage des recrutements, chômage…), les effets se ressentiront sur les finances des caisses de retraite. Mais il y a d’autres inconvénients que vous verrez un peu plus bas.
Recourir au complément de retraite ou la retraite par capitalisation s’avère une des solutions pour bien préparer sa retraite. Mais comment faire et où placer pour avoir plus de retraite?
Sommaire : comment avoir une retraite complémentaire ?
- La retraite par répartition et par capitalisation en France
- Comment fonctionnent les retraites complémentaires ?
- Les régimes de placement retraite
- Conclusion
1. La retraite par répartition et par capitalisation en France
C’est dans les années 1930 qu’ont été instaurées les premières assurances sociales en France. À cette époque, il n’y avait que le système de retraite par capitalisation. Avec ce système, les assurés bénéficient d’un compte individuel sur lesquels leurs cotisations sont portées. À l’époque, seuls les salariés ayant une rémunération annuelle qui ne dépassait pas un plafond étaient obligatoirement assurés.
C’est au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qu’a été instauré le régime général pour l’ensemble des salariés regroupés dans le secteur privé. C’est au même moment qu’a été adopté le principe de la répartition. La retraite ne devait pas dépasser les 40% de la sécurité sociale. Aussi, pour améliorer la couverture, il a été développé des régimes de retraite complémentaire. Aujourd’hui encore, les composantes principales qui sont la retraite complémentaire et la retraite de base sont régies par le principe de la répartition.
- La retraite par répartition
Son fonctionnement est que les cotisations qui sont prélevées à partir des salaires de la population active d’aujourd’hui servent à financer directement les pensions de retraite des ainés. Puis, ce sont les générations d’actifs de demain qui financeront la retraite de ceux qui travaillent aujourd’hui. Et, ce sera ainsi de suite. Ce système s’oppose au système par capitalisation dans lequel le travailleur met de côté régulièrement des sommes pour récupérer au moment de la retraite l’épargne accumulée sous forme de rente ou de capital.
On dit répartition parce que la somme des cotisations prélevées qu’on appelle « assurance vieillesse » est répartie entre les personnes qui bénéficient des pensions de retraite.
Quelques points caractérisent la répartition :
La répartition est dite « contributive » parce qu’à la retraite, la pension que touche une personne correspondra aux cotisations versées pendant toute sa carrière. Ainsi, la retraite touchée par une personne dépend des activités professionnelles qu’elle a effectuées au cours de sa vie.
La répartition est aussi qualifiée de « solidaire », car les cotisations permettent de payer la retraite des catégories sociales qui n’ont pas cotisé à certains moments durant leurs activités, comme les salariés en arrêt maladie, les chômeurs et les parents en congé parental. Les cotisations financent également les allocations solidaires des personnes de plus de 65 ans qui n’ont pas suffisamment cotisé ou même n’ont jamais travaillé.
La solidarité se situe alors entre les actifs et les retraités, entre les actifs eux-mêmes, entre les retraités, et entre les secteurs d’activités. Cela constitue un des avantages de ce système. Si la répartition n’existait pas, chaque individu ne devra compter que sur sa propre épargne et les catégories sociales défavorisées resteront dans des situations difficiles.
Toutefois, le système de répartition est soumis à des limites. D’abord, l’assuré ne peut pas connaitre à l’avance le niveau de retraite auquel il pourra s’attendre suivant le sytème dont il dépend. S’il y a déséquilibre entre le rapport actifs / retraités, le système est fragilisé. Ainsi, s’il y a une crise qui affecte l’emploi, les finances des caisses seront aussi déséquilibrées.
Un autre problème se situe au niveau de l’âge de la retraite qui est fixe alors que l’espérance de vie est à la hausse. Ce qui entraine une période de cotisation plus courte que la période de retraite. Ce problème est commun pour les systèmes de retraite par capitalisation et par répartition.
Par ailleurs, si le nombre d’actifs est inférieur aux retraités, les actifs seront plus taxés et les pensions des ainés seront moindres. En effet, s’il y a moins d’actifs, il y a moins de cotisants, donc moins de pensions.
Or, l’équilibre qu’il faut atteindre est :
« Taux de cotisation x moyennes des salaires x nombre personnes actives qui cotisent = moyenne des pensions x effectif total des personnes qui reçoivent la pension »
Malgré toutes les réformes que le gouvernement a opérées depuis quelques années déjà (augmentation de la cotisation, de l’âge de départ à la retraite, de la durée de cotisation, baisse des pensions versées, baisse du salaire de référence,…), il y a encore des déficits dans les fonds de solidarité vieillesse et les régimes obligatoires. Et selon le rapport du COR de novembre 2017, l’équilibre financier des retraites ne serait atteint qu’en 2040, et ce sous conditions.
- La retraite par capitalisation
Sur le principe de la capitalisation que se fondent les dispositifs pour l’épargne retraite et les retraites complémentaires facultatives. Dans la retraite par capitalisation, chaque actif met régulièrement de l’argent de côté (épargne) ou cotise pour qu’à la retraite, il puisse profiter d’un capital ou d’une rente viagère.
La capitalisation peut être initiée :
- Sous l’initiative du salarié, c’est-à-dire de façon individuelle : dans ce cas, il souscrit à des produits qui ont été mis en place pour l’épargne retraite comme les contrats Madelin, le PERP,…
- D’une manière collective par des plans de retraite initiée par l’entreprise (PERCOI, PERCO,…).
Par ailleurs, la retraite par capitalisation peut être libre ou en partie obligatoire. Le travailleur peut également souscrire à des produits d’épargne généralistes comme le PEA, le livret A, l’assurance vie, le PEL,… qui sont confiés à des gestionnaires, investir dans l’immobilier ou même placer dans des actifs financiers comme dans les comptes titres.
Dans la capitalisation, la rentabilité visée peut être à court terme ou à long terme et le rendement obtenu est en fonction des taux d’intérêt. Tous les éléments, à savoir le montant de la rente, le taux pour la capitalisation, la durée et la fréquence des versements, sont fixés à l’avance dans le contrat qui est individuel. Quand vient la retraite, le travailleur peut :
- Recevoir les revenus qui ont été constitués par le capital puis désépargner peu à peu le capital. S’il décède avant que le capital ne soit épuisé, ses héritiers recevront le reste. Si le capital est épuisé alors que le retraité est encore en vie, ce dernier devra demander la solidarité familiale ou d’être pris en charge par l’État.
- Bénéficier du capital sous forme de rente viagère qu’il recevra jusqu’à la fin de sa vie, peu importe son âge de décès. Ce mécanisme est plus sûr, car le retraité pourra régulièrement bénéficier d’un revenu fixe, qui soit indexé ou non sur l’inflation. Mais en contrepartie, ses descendants n’hériteront pas du capital utilisé pour la mise en place de la rente viagère.
Recourir à la retraite par capitalisation est nécessaire pour faire face à la situation démographique et économique qu’il y a aujourd’hui. Avec ce système, le choc démographique sera absorbé et le coût sera moins cher, car le taux de croissance démographique est inférieur aux rendements du capital. En outre, s’il y a stabilité monétaire, les rendements seront plus avantageux si les taux de capitalisation sont eux aussi intéressants.
Le système de retraite par répartition, contributif et solidaire, dépend surtout de l’équilibre nombre d’actifs et nombre de retraités. Or, aujourd’hui, comme pour les années à venir, le nombre des actifs sera moindre par rapport aux retraités, il devient indispensable de recourir aux retraites complémentaires.
2. comment fonctionnent les retraites complémentaires ?
La retraite complémentaire est celle qui complète la retraite de base de la CNAV. Le système a été créé en 1947 suite à la constatation que les pensions servies par le régime général étaient insuffisantes. Les régimes complémentaires de retraite sont eux aussi obligatoires et diffèrent selon la situation professionnelle du travailleur. Ainsi on distingue les régimes complémentaires de retraite des salariés, des artisans, des commerçants, des professions libérales et la retraite additionnelle de la fonction publique.
Dans le régime complémentaire de retraite, les cotisations salariales versées par les salariés, et les cotisations patronales versées par les employeurs sont rassemblées dans les caisses de retraite complémentaires.
Lors de la retraite, les points sont transformés en numéraires. Le montant de la pension est calculé à partir du nombre de points en fonction des revenus professionnels que le travailleur a acquis durant sa carrière. Lorsque vient le moment de partir à la retraite, le cumul des points est multiplié par la valeur du point du moment. On obtient ainsi le montant de la pension complémentaire que le retraité percevra jusqu’à sa mort.
Ci-dessous la formule pour calculer le montant de la pension :
Pension complémentaire = points reçus pendant toute la carrière x Valeur des points x taux de pension
Le taux de pension est pris en fonction du nombre de trimestres que l’assuré a acquis, et c’est sur ce taux que la décote est appliquée dans le cas où la carrière a été incomplète. Si cette dernière est complète, le taux est de 100% et on dit que le taux est « plein ».
L’assuré n’a pas de durée minimum de cotisation à respecter dans les régimes complémentaires, pas comme dans le régime de base. Toutefois, à partir de 2019, tous les assurés du secteur privé (sauf ceux qui sont nés avant le 1er janvier 1957) qui liquident à taux plein leur retraite de base avant l’âge de 67 ans se verront réduire leur complémentaire de 10% pour trois ans. Par contre, ceux qui décalent leur départ en retraite peuvent avoir droit à une surcote apposée sur leur régime de base, soit 1,25% par trimestre supplémentaire.
Voici quelques exemples de caisses de retraite complémentaire :
- Salariés appartenant aux secteurs privés et agricoles : ARRCO et AGIRC
- Agents non titulaires de l’Etat, agents des collectivités publiques : IRCANTEC
- Non-salariés du secteur agricole : MSA
- Fonctionnaires de l’État : RAFP
- Ouvriers de l’État : FSPOEIE
Les régimes complémentaires ont été instaurés pour compléter le régime de base. Dans ce système, il n’y a pas de durée minimum de cotisation.
3. les régimes de placement retraite
Comme vu plus haut, le nombre de chômeurs a augmenté ces dernières années, tout comme le nombre des retraités. Le déséquilibre pour le rapport cotisants / retraités est ainsi menacé. Sachez qu’à la retraite, vos revenus seront réduits de 30% à 60%, et que bientôt il y aura plus de retraités que d’actifs. Si vous voulez conserver votre niveau de vie actuel quand vous serez à la retraite, je vous conseille de compléter vos rentrées d’argent par des placements financiers.
- Le PERP
Ce plan d’épargne est proposé par les organismes de prévoyance mutuelle, les assurances et les banques. C’est un produit qui, à long terme, permet d’obtenir à la retraite un complément de revenu qui est reversé sous forme de rente viagère. Mais l’assurer a également la possibilité de demander que le produit lui soit versé sous forme de capital, jusqu’à 20%. Enfin, l’affilié peut aussi utiliser l’épargne accumulée pour acquérir une première résidence principale.
Il n’y a pas de condition d’âge demandée lors de la souscription du PERP. Toutefois, cette offre convient très bien aux personnes en activité. Il y a trois types de contrats auquel vous pourrez souscrire :
- Rente viagère différée
- Épargne convertissable en points ou unités de rente
- Capital converti en rente viagère
Les versements sont libres ou programmés et sans montants exigés durant la phase d’épargne. Le déblocage est effectué à l’âge de la retraite mais, il peut avoir lieu dans des situations exceptionnelles comme la fin de droits au chômage, l’invalidité et la liquidation judiciaire. Si le souscripteur meurt avant son départ à la retraite, la somme constituée peut être versée au bénéficiaire désigné au moment de la souscription au contrat, ou à son épouse sous forme de rente viagère, ou à ses enfants mineurs en rente de scolarité.
Le PERP a un atout considérable qui est sa fiscalité.
En effet, les sommes versées sont déductibles des revenus jusqu’à 10% du revenu professionnel de la précédente année, le PASS est considéré si l’assuré n’a pas de revenu. Par ailleurs, le revenu professionnel ne doit pas dépasser 8 fois le PASS. En 2018, le PASS est de 39.732 €.
La rente et la sortie en capital sont soumis à l’impôt sur les revenus et sur les prélèvements sociaux au moment où la rente est versée ; abattement de 10% puis impôt sur le revenu pour le capital. Mais le bénéficiaire peut demander, et c’est irrévocable, d’opter pour un PFL de 7,5% en prenant comme base 90% du capital brut, sous deux conditions :
- Il a alimenté le PERP seulement avec versements déductibles de son revenu imposable
- La sortie en capitale a lieu en une seule fois
Les sommes peuvent aussi être déclarées comme étant des revenus exceptionnels, dans ce cas elles sont soumises au système de quotient.
Exemples de réduction fiscale fiscale sur un PERP versement 4500 euros par an :
Il est à savoir que le PERP n’est intéressant que si vous êtes fortement taxé. En effet, plus le niveau d’imposition est élevé, plus vous réalisez une économie d’impôt.
Voici un tableau d’exemple pour un versement annuel de 4500 € sur un PERP et la réduction fiscale.
Imposition |
Réduction |
45% |
2 025,00 € |
41% |
1 845,00 € |
30% |
1 350,00 € |
14% |
630,00 € |
5,50% |
247,50 € |
Contribuable non imposable |
Pas de réduction |
Le mode de calcul pour avoir la réduction d’impôt est : 4500 x 45% = 2025 €. Si vous êtes dans la tranche de l’imposition à 5,5%, vous n’économiserez que 247,5 € d’impôt.
- Le PERCO
Dans certaines entreprises, il est proposé aux travailleurs de souscrire au PERCO. Cela consiste à effectuer des versements (souvent abondés par l’entreprise) qui seront bloqués jusqu’à leur retraite. Le PERCO est réservé aux salariés du secteur privé et débloqué à la retraite sous forme de rente viagère.
Les versements ont un plafond de 25% en prenant comme base la rémunération annuelle quand il s’agit d’une épargne personnelle. Les versements ainsi que le capital investi et/ou récupéré à l’échéance, donnent droit au bénéficiaire à des avantages fiscaux.
Le PERCO peut être alimenté de diverses façons comme avec:
- Des sommes qui proviennent de la participation, de l’intéressement ainsi que du transfert provenant d’autres épargnes salariales
- Des droits inscrits sur un CET
- Des sommes qui correspondent à des jours de repos que la personne n’a pas pris à hauteur de 10 jours par an
- Des versements effectués par l’assuré
- Des abondements venant de l’entreprise
À la sortie en rente viagère, les gains sont imposés à la fiscalité des rentes viagères à titre onéreux. À la sortie en capital, les gains sont exonérés d’IR mais soumis aux prélèvements sociaux sur les produits de placements.
- Le PREFON
Les fonctionnaires peuvent souscrire au PREFON. C’est un produit d’épargne sous forme de retraite en points qui a pour objectif la constitution d’une rente viagère si le souscripteur est en vie à la fin du contrat. En cas de décès, la rente est versée au conjoint ou aux orphelins selon les termes du contrat.
Lors de la liquidation, il est possible de récupérer 20% des droits sous forme de capital. Sachez que le PREFON est imposable comme toutes les pensions et retraites.
Cette retraite complémentaire est réservée aux non-salariés et non agricoles comme les industriels, les commerçants et les artisans, les professionnels libéraux et les dirigeants de sociétés qui sont soumises à l’impôt sur les sociétés.
Elle permet la déduction au bénéfice imposable des cotisations versées par le souscripteur chaque année pour un contrat de mutuelle prévoyance ou de santé mutuelle.
- L’assurance vie
L’assurance-vie permet de se constituer une épargne, de la capitaliser et de recevoir des revenus. Les produits et les intérêts capitalisés ne sont pas imposables durant le contrat. Si le souscripteur effectue des retraits ou achats au bout de huit ans de capitalisation, ces derniers sont exonérés d’impôt. Quant aux plus-values, elles sont taxées jusqu’à 7,5% à la sortie du contrat.
À la retraite, vos revenus seront considérablement réduits.
Souscrire à un ou des compléments de retraite, la plupart du temps comprenant des avantages fiscaux, est le meilleur moyen d’assurer des rentrées d’argent supplémentaire.
4. conclusion sur la retaite complémentaire :
Le système de retraite en France, par répartition, est aujourd’hui soumis à des problèmes de taille. La population active est de plus en plus réduite en nombre par rapport aux personnes qui perçoivent des pensions de retraite. L’équilibre actifs / retraités est donc fragilisé au détriment des deux parties.
Comment espérer avoir une retraite complémentaire?
- Plus jeune vous préparerez votre retraite en bloquant de l’épargne, plus vous pourrez maintenir votre pouvoir d’achat la retraite.
- Dès 50 ans, vous devez faire évaluer votre retraite future.
- Fixez le plus tôt possible un montant d’épargne qui génèrera des revenus complémentaires à la retraite.
- Bénéficiez des placements retraites de votre entreprise à l’image du PERCO ou du PERP pour les fonctionnaires.
- Réduisez vos impôts tout en construisant une retraite avec l’aide des placements comme le PERP, l’assurance vie ou encore la loi Madelin.
En conséquence, pour s’assurer une vie plus confortable au moment de la retraite, il est conseillé d’épargner le plus tôt possible ou de souscrire à des contrats de complément de retraite.
Ceux que je viens de citer dans cet article comportent tous des avantages fiscaux. Il est aussi important de diversifier si vous avez les moyens.
Toutefois, pour avoir de réels bénéfices, confiez votre projet à un bon conseiller en gestion de patrimoine. Cet expert saura vous conseiller et vous orienter vers les placements les plus rentables selon votre situation avec une approche globale.