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Le CAC40 plie mais ne rompt pas !

Publié le 1 juin 2015 | Dernière mise à jour le 25 octobre 2021
Cyril Jarnias Expert en Gestion de Patrimoine indépendant

Le CAC40 termine un 5ème mois en territoire positif, il flirte avec les +17% depuis de l’année.

 

Malheureusement, la hausse du cours du CAC40 (au-dessus des 5000 points) n’est pas linéaire.

La preuve encore cette semaine où l’indice parisien perd 2,14% à 5007 points (source : boursorama.com).

 

A l’approche de la période estivale, les interrogations sur la santé des entreprises et sur la croissance économique dans un environnement de crise durable restent posées.

 

Pour connaître l’état de l’économie mondiale, il existe un indice le Baltic Exchage Dry Index.

 

Pour reprendre le site Wikipédia : « Le Baltic Dry Index (BDI) est un indice des prix pour le transport maritime de vrac sec (principalement minerais, charbon et céréales), publié par la société britannique Baltic Exchange basée à Londres. »

 

Cet indice permet de mesurer les échanges commerciaux dans le monde.

 

Malheureusement si vous regardez cet indice, vous voyez qu’il a atteint son plus bas en janvier 2015.

bdi_log

 

On peut donc dire sans trop se tromper que si le graphique du CAC40 reprend des couleurs, le graphique du Baltic Dry Index est dans une situation catastrophique.

 

Quand on regarde l’indice Baltic Dry Index, on voit que la crise est mondiale et durable ! 

 

La croissance mondiale a donc du « plomb dans l’aile » et on voit mal comment les banquiers centraux et nos politiques vont redonner une dynamique à la croissance.

 

D’un côté, les banques centrales injectent de l’argent de façon illimitée avec un taux d’intérêt quasiment nul en espérant que les entreprises vont investir.

 

De l’autre, nos politiques font du surplace entre une rigueur budgétaire et  « mesurettes »  pour relancer la croissance…Pire, on voit la montée des extrêmes se dessiner en Europe, par exemple, entre le « ras bol » des espagnols au chômage ou encore la montée continue du FN en France face à un gouvernement socialiste englué dans le chômage et la croissance atone.

 

 

Vous doutez donc que dans cet environnement, il convient d’être encore plus proche de ses affaires et de son patrimoine.

 

Je vous propose donc ma revue de presse sur la gestion de patrimoine pour vous aider à y voir plus clair.

 

 

 

 

Après un CAC40 en sursis, ma revue de presse hebdomadaire sur la gestion de patrimoine.

 

Je vous propose cette fois-ci de parler de placement, fiscalité et immobilier.

 

Nous sommes tous, amis lecteurs, que si le CAC40 n’est pas votre tasse de thé, ces thèmes patrimoniaux vont vous intéresser.

 

 

 

 

Placement :

 

La presse financière, ici capital.fr, parle depuis plusieurs mois, d’un placement miraculeux.

 

Il s’agissait d’investir dans des manuscrits.

 

Vous pouviez avoir des écrites de Napoléon.

 

On vous vendez un rendement fabuleux pour un document historique.

 

Malheureusement, si vous avez qu’un seul vendeur pour ces manuscrits, vous vous doutez qu’il peut jouer sur le prix et tenir le marché.

 

Plus le placement est atypique, plus vous risquez de ne pas pouvoir le revendre : on parle de risque de liquidité. 

 

C’est malheureusement ce que l’on semble reprocher à cette société dans cet article.

 

Mon sentiment derrière ce placement à fort rendement : « je ne crois pas aux beaux rendements surtout quand il s’agit d’un domaine que je ne maîtrise pas ».

 

Comment un investisseur peut-il se laisser entraîner dans une telle spirale de la perte ? C’est toujours l’appât du gain sans se poser les bonnes questions comme le risque…

 

 

 

 

Immobilier :

 

En matière d’immobilier, vous avez toujours deux types de biens : soit votre résidence principale ou secondaire soit des biens pour faire un investissement, du rendement et généralement réduire vos impôts.

 

Commençons par les résidences secondaires :

 

On pense tous à l’appartement au bord de mer, la maison de campagne ou encore le studio dans une station de ski.

 

Maintenant, au-delà du côté loisir, va-t-on acheter un bien au bon prix ? Pourra-t-on le revendre facilement avec une belle plus-value ?

 

Pour reprendre l’article des échos.fr, on pourrait dire : « faire un bon investissement avec une résidence secondaire. »

 

A mon sens, j’imagine plus la résidence secondaire en gestion de patrimoine comme un investissement « plaisir ».

Je n’ai pas envie de penser que le particulier pense déjà à la revente et à une belle plus-value.

 

Je préfère plus que vous vous concentrez juste sur l’idée que vous pourrez facilement revendre votre bien.

Je pense que si vous vous focalisez uniquement sur la plus-value : oubliez l’idée de résidence secondaire. Vous allez investir dans un bien que vous louerez en permanence avec un beau rendement.

 

En matière d’immobilier, vous devez distinguer l’immobilier « plaisir » de l’immobilier de rendement. Les deux sont rarement compatibles : soit vous louez et vous revendez pour faire une belle plus-value, soit vous profitez du bien en vous assurant que vous pourrez au moins le revendre facilement. 

 

Donc, on parle alors d’immobilier de rendement :

 

On va alors retrouver des programmes classiques de défiscalisation immobilière car vous voulez certes du rendement mais vous souhaitez aussi ne pas subir la fiscalité des revenus fonciers et si possible baisser votre impôt sur le revenu.

 

L’idéal serait également d’avoir des biens qui ne viendraient pas augmenter votre ISF ou vous faire rentrer dans les contribuables redevables de l’impôt de solidarité sur la fortune.

 

Déjà, si on prend l’immobilier dans le Pinel, vous allez devoir bien vérifier le plafond ressources Pinel comme l’indique fiscalonline.fr. Le site vous donne les nouveaux plafonds de ressources pour le Duflot, Robien, Borloo, Pinel ou encore Scellier.

 

 

 

 

Fiscalité :

 

Je viens d’évoquer l’immobilier de défiscalisation et de rendement sur le blog gestion de patrimoine.

 

On ne peut pas oublier le poids de la fiscalité des revenus fonciers.

 

Pour cela, il convient d’avoir les bons réflexes « fiscaux » quand on veut investir dans ce type d’immobilier.

 

Dans cet article de capital.fr sur l’investissement dans l’immobilier meublé, vous allez comprendre avec un exemple pratique d’un couple les avantages de ce type d’investissement.

 

Malheureusement, si l’investissement meublé a de nombreux avantages, de nombreux investisseurs prennent de plein fouet la fiscalité des revenus fonciers. Ils pensent faire  une bonne affaire à l’achat, vont mettre en location leurs biens mais oublient totalement le poids croissant de la fiscalité.

 

De fait, entre des loyers fortement fiscalisés et de futures belles plus-values à la revente, ils n’ont rien anticipé quand leurs proches hériteront de leurs biens immobiliers.

 

Quand on parle de plus-values, on doit regarder le poids de la fiscalité. Par exemple, si on revient sur le CAC40, le PEA PME peut vous aider à la subir.

 

Vous voyez donc l’intérêt d’avoir un bon conseiller en gestion de patrimoine pour réagir et prendre les devants.

 

« Un conseiller en gestion de patrimoine peut vous aider à éviter de subir le poids de la fiscalité sur les revenus fonciers. »

 

Avez-vous pensé à donner temporairement l’usufruit de vos biens immobiliers en locations ?

 

On parle ici de donation temporaire d’usufruit comme on peut le voir dans l’article du revenu.com.

 

L’objectif premier de cette opération faite avec l’aide d’un notaire est principalement d’aider vos enfants et de préparer la cession de votre patrimoine.

 

Vous ne devez pas penser qu’à la réduction fiscale sous peine d’une requalification par le fisc !

 

 

 

 

Je ne suis toujours pas sur les actions du CAC40 mais je veux faire croître mon patrimoine.

 

 

J’ai toujours la même chanson.

 

L’épargnant français est faiblement investi sur les actions et il voit passer le train de la performance.

 

Généralement, quand les actions sont au sommet, c’est à ce moment-là qu’il veut investir sur l’indice parisien.

 

Manque de chance, quelques temps après, les marchés corrigent.

 

L’investisseur n’a alors plus envie d’entendre parler des actions.

 

 

Je regarde les actions sur le long terme, je me fais aider par un gérant dans le cadre d’un mandat de gestion. Elles resteront la partie la partie plus risquée de mon patrimoine. 

 

 

Comment faire pour investir au bon moment sur les actions ?

 

A mon sens, il n’a pas un bon ou un mauvais moment, c’est avant tout regarder son profil de risque et se donner du temps.

 

On doit penser diversification.

 

On doit aussi savoir prendre un mandat de gestion pour gérer ses actions.

 

 

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Je suis Cyril Jarnias, expert en gestion de patrimoine indépendant depuis plus de 20 ans. J’aide particuliers et chefs d’entreprise à « Construire, protéger et transmettre votre patrimoine en toute sérénité ». J’interviens dans de nombreux médias sur le patrimoine : BFM Business, La Tribune, Les Echos, Investir notamment.

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