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Investir dans une start-up : comment faire ? Dans quelle start-up investir ?

Publié le 23 janvier 2022
Investir dans une start-up : comment choisir ?

Petit rappel : Une start up est une jeune entreprise innovante. Une start up doit régulièrement procéder à des levées de fonds afin de financer des projets innovants.

Investir dans une start-up offre aux investisseurs des avantages fiscaux, mais également la possibilité de contribuer au développement de l’économie nationale. Les premiers actionnaires des sociétés comme Microsoft, Apple ou encore Amazon sont tous devenus multimillionnaires. Bien sûr, il est assez difficile de dénicher de telles sociétés car ce sont des perles rares, mais ce n’est pas impossible.

Disclaimer : Les informations publiées sur cette page ne peuvent en aucun cas être considérées comme étant un conseil en investissement. Les informations sur ce dossier consacré à l’investissement dans la ville de Dallas ne représente pas une offre de produits ou de services pouvant être assimilée à un appel public à l’épargne ou à une activité de démarchage ou de sollicitation en vue d’acquérir un produit financier. N’oubliez pas que les performances passées ne préjugent en rien des performances futures. Si vous avez besoin de conseils personnalisés, je vous invite à me contacter. Je suis expert en gestion de patrimoine avec plus de quinze ans d’expérience dans le domaine de la gestion de patrimoine.

Comment investir dans une start up ?

Comment investir dans une start-up ?

Comment devenir actionnaire d’une start up ?

 

Il y a deux façons de devenir actionnaire d’une start-up : 

 

  • via la participation à une augmentation de capital (levée de fonds). Très souvent, l’entreprise a eu le temps de tester son produit sur le marché. On a donc les premiers résultats. Opération risquée, mais très gros gains potentiels en cas de réussite de l’opération.
  • ou bien participer à la constitution du capital initial d’une société.  Cette solution d’investissement est très risquée, car on investit dans une société qui n’a pas encore testé son produit. L’opération peut néanmoins se révéler très rentable.

Comment financer une start-up en France ?

 

Le Love Money reste encore aujourd’hui l’une des formes de financement privilégiées pour les jeunes start-up. Mais seulement, quand l’entourage familial ne permet pas de répondre aux besoins de financement d’une jeune entreprise, les fondateurs vont alors se tourner vers d’autres formes de financements. On peut notamment citer le financement bancaire (très rare pour une jeune société à moins d’apporter des garanties sur son patrimoine personnel), le financement participatif (via une plateforme de crowdfunding, de plus en plus utilisée dans le monde des affaires) et bien sûr le réseau des business angels.

 

Pour un financement par versements numéraires, le financement d’une start-up peut se réaliser de différentes façons : via la souscription lors de la constitution d’une société (risqué car la société n’a pas encore lancé son produit sur le marché) ou bien lors d’une augmentation de capital.

Devenez membre de réseaux de business angels

S’inscrire sur le premier réseau français de business angels

 

Le réseau financier français est l’un des réseaux français de business angels les plus connus en France. Le réseau se vante de connecter chaque mois 5 000 entrepreneurs et investisseurs. L’inscription est gratuite. La plateforme se rémunère en prélevant une commission lors de la mise en contact d’un entrepreneur avec un investisseur.

 

Il n’y a pas de mise initiale minimale avec ce réseau, ce qui est un gros avantage par rapport aux autres réseaux d’investisseurs français. On peut investir quelques milliers d’euros sur certains dossiers d’investissement. En revanche, les plus gros projets d’investissements limitent le montant minimal d’investissement.

 

Le fonctionnement est simple. Il vous suffit de vous inscrire. Vous pouvez ensuite accéder à un formulaire de recherche, qui vous permet de présélectionner des offres d’investissements. Prenez ensuite contact et communiquez via la messagerie instantanée pour débattre des offres et développer votre réseau de contact. La plateforme vous permet de gérer vos investissements et développer votre réseau.

 

Le gros avantage de la plateforme ? On trouve quelquefois des sociétés en phase d’amorçage. C’est-à-dire des sociétés qui n’ont pas encore achevées la conception finale du produit ou du service et qui recherchent des capitaux pour finaliser la conception et amorcer la phase commerciale. Investir dans une start-up en phase d’amorçage est risqué, mais c’est aussi une solution d’investissement particulièrement dynamique.

 

On peut investir des fonds dans une start-up lors d’une levée de fonds.

C’est un excellent moyen de dénicher une perle rare.

Les autres grands réseaux de business angels

 

On dénombre plusieurs centaines de réseaux de business angels dans le monde. En France, on a également le réseau Paris Business Angels (réseau constitué de plus de 150 investisseurs, pour des levées de fonds de 150 à plusieurs millions d’euros), Rhône Vallée Angels (plus de 50 entrepreneurs), Femme Business Angels (150 femmes actives dans le réseau). On dénombre plus de 4 500 business angels en France.

Rechercher sur le web les dernières levées de fonds

 

Les dernières levées de fonds sont souvent publiées sur Internet sur des plateformes spécialisées. L’une des plus célèbres plateforme : Republic.com

 

Cette plateforme est spécialisée dans l’investissement dans les start-ups. La plateforme regroupe plus de 1,5 million d’investisseurs à travers le monde, et elle a déjà contribué au financement de plus de 600 sociétés (pour un montant total qui dépasse les 700 millions de dollars).

 

C’est une bonne plateforme pour dénicher des deals attractifs. Mais en revanche, on regrette beaucoup le manque d’ouverture de la plateforme sur des sociétés moins larges. Le ticket d’entrée est cependant assez élevé pour s’inscrire sur cette plateforme.

Comment choisir une start up ?

Comment choisir une start-up ?

1 – Miser sur l’innovation

 

Une start-up est par définition une société à fort potentiel de croissance. Il faut donc sélectionner un projet d’investissement dans une société qui peut potentiellement se développer rapidement.

 

Il faut investir dans une société innovante. La société doit proposer un produit disrupteur de marché : innovation sur le prix, sur la quantité, sur le packaging ou encore idéalement sur la technologie.

2 – Les compétences de l’équipe dirigeante

 

Il est essentiel de ne pas investir des fonds dans une société où les fondateurs / associés ne disposent pas des compétences techniques et managériales nécessaires pour mener à bien le développement de l’entreprise.

 

Pour apprécier les compétences de l’équipe dirigeante, il est important d’inspecter avec attention les profils LinkedIn, l’expérience professionnelle de chaque associé, ainsi que les recommandations de professionnels dans leur secteur d’activité.

3 – Le business plan : un élément fondamental pour évaluer une start up

 

Le business plan est un document comptable indispensable pour évaluer une start-up.

 

Un business plan doit détailler les étapes de développement du produit. Il doit vous informer sur les compétences techniques de l’équipe dirigeante, les prévisions de recettes et dépenses sur les prochaines années, un détail complet sur les charges de la société.

 

Une étude de marché approfondie doit être fournie avec le business plan : taille du marché, liste des principaux concurrents directs / indirects,…

4 – Comprendre les étapes lors du lancement d’un nouveau concept

 

Investir dans une start-up signifie qu’il faut bien comprendre les différentes étapes lors du lancement d’un nouveau concept.

 

Parmi les différentes étapes, on retrouve ainsi l’idée de base, le brainstorming, le développement du concept, l’élaboration des stratégies marketing, l’échantillonnage, le premier test marketing, la commercialisation du produit et enfin la phase de lancement officielle.

 

La question que l’on doit se poser : à quel stade de développement se situe la société qui lève des fonds ?

5 – La jeune société est t’elle déjà rentable ?

 

Il est indispensable d’étudier la comptabilité de la société : bilan, compte de résultat, flux financiers. Une société déjà rentable est un élément rassurant, car cela signifie que l’entreprise est autosuffisante, et que la levée de fonds ne peut que la soutenir dans sa phase de développement. 

6 – Les fondateurs sont-ils trop dépensiers ?

 

Investir des fonds dans une start-up signifie que vous allez confier une partie de votre capital personnel à d’autres personnes. Il est essentiel de ne pas confier vos fonds à des personnes trop dépensières.

 

Investir dans un photocopieur dernière génération alors qu’on photocopie que 2 pages par mois est une dépense difficile à justifier. C’est même du pur gaspillage ! 

 

Par contre, investir dans de la publicité sur les réseaux sociaux ou sur les moteurs de recherche avec un gros ROI (retour sur investissement) est justifiable et voire même nécessaire.

Il faut trouver le bon équilibre entre les dépenses nécessaires à la bonne exploitation de l’entreprise ET les dépenses inutiles non justifiées. Demandez aux fondateurs le registre des comptes afin d’identifier toutes les dépenses récentes. Si des dépenses non nécessaires apparaissent de manière récurrente, passez votre chemin.

Quels sont les secteurs attractifs pour une start up ?

Quels sont les secteurs attractifs pour investir dans une start-up ?

1 – Le commerce électronique

 

Le commerce électronique offre des opportunités d’investissement extraordinaires. Il est bien sûr difficile de rivaliser avec des sociétés spécialisées dans la distribution en ligne comme Amazon, Ebay ou encore Cdiscount.

 

Pourtant, il existe des opportunités incroyables dans le commerce électronique. 

 

Les marketplaces, comme Ebay, Cdiscount, Rueducommerce, Manomano, permettent à n’importe quel vendeur en ligne de vendre en ligne des produits. On peut ainsi s’inscrire et distribuer ses produits aux clients des marketplaces. Le vendeur se charge de toute la procédure d’expédition et de gestion du service après-vente. Les marketplaces offrent aux vendeurs l’opportunité de profiter de leurs puissances de frappes. 

Je connais des sociétés spécialisées dans la distribution sur Internet qui réalisent un chiffre d’affaires énorme sur Internet, avec un investissement initial très réduit (quelques dizaines de milliers d’euros).

Bon à savoir :

Amazon, ainsi que d’autres commerçants en ligne comme Cdiscount, proposent depuis quelques années une solution d’expédition de produits. Le service d’Amazon s’appelle ainsi FBA (Fulfilment By Amazon), c’est un service où vous stockez tous vos produits dans les entrepôts d’Amazon et ils se chargent ensuite de toute la procédure d’expédition. Le service est bien sûr facturé par Amazon, mais cela permet notamment d’organiser plus facilement l’expédition des produits.

Alors, à côté de cela, l’expérience du commerce électronique évolue dans le temps. Je pense que l’on doit s’attendre à une plus grande intégration des processus écologiques, une distribution des produits plus locales, une intégration des réseaux sociaux dans le processus d’achat et de vente, une utilisation majeure de l’intelligence artificielle dans le processus de vente, l’utilisation de la réalité augmentée / réalité virtuelle,… N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en savoir plus.

2 – Le secteur des Saas

 

Saas signifie Software as a service. C’est en quelque sorte un logiciel distribué exclusivement sur Internet sous la forme d’une licence. Le logiciel ne se télécharge pas. Il s’utilise sur un navigateur web ou via une application. C’est un logiciel connu sous le nom de “logiciel à la demande”. Le logiciel est facturé sous forme d’abonnement, et il est hébergé de manière centralisée.

 

Un logiciel qui ne se télécharge pas présente quelques avantages par rapport à un logiciel Windows traditionnel : il n’encombre pas inutilement l’ordinateur des utilisateurs, le stockage des fichiers importants est automatisé et la sécurité est gérée de manière centralisée.

 

Investir dans une société commercialisant un Saas, quels sont les secteurs dynamiques ?

 

On assiste souvent à un déplacement des logiciels Windows vers l’univers Web. Ce n’est pas la même technologie, et parfois les sociétés d’origine (comme EBP par exemple) ne comprennent pas l’enjeu de migrer rapidement vers un modèle Saas. Pourtant, je pense que c’est l’avenir. Les utilisateurs ne souhaitent plus télécharger des logiciels Windows, difficile à migrer en cas de changement d’ordinateur et où les sauvegardes éventuelles sont complexes (et parfois aléatoires).

 

Prenons l’exemple des logiciels comptables.

 

On connaît déjà les sociétés dominantes dans le secteur comptable en France : Sage, EBP, Ciel.

 

Ce sont les sociétés qui dominent le marché de la comptabilité en France depuis plusieurs décennies.

 

Mais elles ont toutes un point commun : elles n’ont pas (encore) pris le virage digital.

 

On a bien quelques sociétés françaises qui ont compris l’enjeu de développer des logiciels comptables en mode Saas : Zefyr, Macompta.fr, Itool, Compta.com, Capcompta,… mais ce sont souvent des logiciels incomplets, complexes ou très chers. Je ne connais pas un seul logiciel comptable français qui dispose d’une version API, permettant de générer de manière automatique les factures, les devis et d’intégrer l’ensemble des écritures comptables dans la comptabilité. C’est pourtant indispensable pour des sociétés ecommerce. A côté de cela, on constate que le marché comptable français est désormais inondé par des versions internationales, comme Xero, Intuit Quickbooks. Je pense qu’il y a encore de la place pour le développement d’un logiciel comptable français et adapté aux normes comptables françaises, avec une version API et une solution simple et à prix abordable. C’est juste un exemple.

 

On peut également citer les solutions métiers : solution d’expédition pour les sites ecommerce, logiciels CRM adaptés à certains métiers,…

3 – L’automatisation des processus industriels

 

On peut citer en exemple la 25éme licorne française : Exotec. Cette société est spécialisée dans la commercialisation de solutions pour automatiser une partie du processus d’expédition des colis chez les commerçants en ligne. Le système fonctionne sur la base de petits robots électriques qui se déplacent rapidement entre les rayons, afin de chercher de manière automatique les bons produits et faciliter ainsi le travail aux préparateurs de commandes. Le processus est révolutionnaire, même si d’autres sociétés (notamment chinoises) se sont déjà lancées dans un système similaire (il suffit de voir le fonctionnement de la flotte Alibaba par exemple pour comprendre que d’autres grosses sociétés dans le monde ont déjà investi dans un processus similaire). 

 

Je pense que la robotique est un secteur d’avenir. On est dans une société qui demande de la réactivité. La robotique apporte une solution à ce besoin de réactivité.

4 – La biotechnologie

 

La biotechnologie demande des compétences techniques poussées. Le ticket d’entrée est aussi très élevé (plusieurs millions d’euros). 

 

Avant d’investir dans une start-up spécialisée dans la biotechnologie, vérifiez tout d’abord les compétences techniques de ses membres (profils LinkedIn, CV,…). Les arnaques sont fréquentes dans ce secteur.

 

Investir dans une start-up dans le secteur de la biotechnologie ne veut pas dire grand-chose. Le secteur est très vaste. Il est important de diriger vos recherches vers les secteurs les plus attractifs : thérapie génique, secteur des bioservices,… N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus.

 

A côté de cela, investir dans une start-up spécialisée dans le secteur de la biotechnologie demande un investissement conséquent de plusieurs millions d’euros. Ce n’est pas un secteur réservé à tous les investisseurs. Très souvent, les investisseurs les plus modestes financent alors des start-up jeunes sur les marchés financiers, lors d’une levée de fonds ou bien encore sur le marché secondaire.

 

On peut rester attentif aux SPAC spécialisées dans les biotechnologies.

5 – Le secteur de la fintech

 

Investir dans une start-up spécialisée dans le secteur de la fintech va vous demander de mobiliser (généralement) une part importante de votre capital. La plupart des sociétés évoluant dans ce secteur lèvent généralement plusieurs millions d’euros à chaque levée de fonds.

 

Dans le secteur de la fintech, on peut citer notamment le secteur des banques digitales qui est très porteur (comme les banques Qonto, N26,…).

Bon à savoir :

La néo banque française digitale Qonto, spécialisée dans les entreprises, a annoncé le 11 janvier 2022 un nouveau tour de table d’un montant record de 486 millions d’euros. Une somme extraordinaire pour une jeune pousse qui valorise désormais la société à 4,4 milliards d’euros. La société vise 1 million de clients professionnels d’ici 2025.

Alors, investir dans le secteur de la banque digitale reste désormais complexe. Le marché commence à devenir saturé.

 

Je pense qu’il reste cependant beaucoup à faire dans la gestion des affaires sur Internet. On doit rester attentif au développement de nouvelles plateformes de crowdfunding, aux sociétés spécialisées dans la gestion des fonds via intelligence artificielle, un système IA spécialisée dans la gestion boursière,… La liste n’est bien sûr pas exhaustive. N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus.

Défiscaliser avec une start up, comment faire ?

Défiscaliser avec une start-up, comment faire ?

La liste des mécanismes fiscaux décrits ci-dessous n’est pas exhaustive. N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus.

Important :

Chaque situation fiscale est unique. Pour plus d’informations, je vous invite à me contacter. Je suis expert en gestion de patrimoine avec plus de quinze ans d’expérience.

Réduction d’impôt pour investissement dans une PME

 

En investissant dans une start-up, vous pouvez bénéficier (sous certaines conditions) d’une réduction d’impôt.

Jusqu’à 25 000 euros de réduction d’impôt l’année de la souscription!

 

Le montant de la réduction d’impôt est fixé à 18% des versements effectués du 1er janvier au 9 août 2020, tandis que la réduction d’impôt est ensuite fixée à 25% pour les versements effectués du 10 août au 31 décembre 2020.

Le versement retenu est plafonné à hauteur de 50 000 euros (pour une personne célibataire, divorcée ou veuve) ou bien 100 000 euros (pour une personne mariée ou pacsée soumise à une imposition familiale commune).

Bon à savoir :

La fraction des versements qui excède ces plafonds vous ouvre le droit de bénéficier d’une réduction d’impôt au titre des quatre années suivantes dans les mêmes limites. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter.

Les conditions à respecter pour bénéficier de cette réduction d’impôt :

 

Pour bénéficier d’une réduction d’impôt, il convient d’effectuer des versements en numéraire lors de la constitution d’une entreprise ou bien lors d’une augmentation de capital. 

 

Il est nécessaire de conserver les titres sociaux jusqu’au 31 décembre de la 5éme année suivant celle de la souscription.

 

D’autres conditions peuvent s’appliquer. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des doutes ou toute question complémentaire.

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter la liste des conditions requises sur le site des impôts (ici).

Conclusion : Faut-il investir dans une start up ?

Nous l’avons vu, un investissement dans une PME vous permet de bénéficier (sous certaines conditions) d’une réduction importante de votre fiscalité personnelle. La souscription au capital initial d’une entreprise ou lors d’une augmentation de capital peut vous aider à réduire vos impôts : jusqu’à 25 000 euros l’année de la souscription ! Il est possible également de bénéficier, sous certaines conditions, d’une réduction d’impôt dans les quatre années suivantes l’année de la souscription. 

 

Je pense que c’est une excellente solution pour dynamiser une partie de son patrimoine. Les sociétés qui lèvent des fonds sont des sociétés à fort potentiel de croissance. Vous pouvez potentiellement perdre la totalité de votre capital, mais en cas de succès de l’opération, vous pouvez espérer démultiplier votre capital.

 

Investir dans une start-up comporte un risque de perte (totale ou partielle) de capital. Ce n’est pas une solution d’investissement sans risques. Néanmoins, je pense que c’est passionnant de contribuer au développement de l’économie réelle en investissant ses fonds (et parfois son savoir-faire) dans le développement d’une petite entreprise.

 

Pour investir dans une start-up, il est bien sûr préférable d’investir dans un secteur attractif, comme le commerce électronique, le secteur des Saas, l’automatisation des processus industriels, la biotechnologie ou encore le secteur de la fintech. La liste n’est bien sûr pas exhaustive. Il faut de toute façon investir dans un secteur porteur (dynamique). La recherche de la l’innovation reste la clé pour réussir.

 

Si vous avez des questions en rapport avec l’investissement dans une start-up, je vous invite à me contacter. Je suis expert en gestion de patrimoine.

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Je suis Cyril Jarnias, expert en gestion de patrimoine indépendant depuis plus de 20 ans. J’aide particuliers et chefs d’entreprise à « Construire, protéger et transmettre votre patrimoine en toute sérénité ». J’interviens dans de nombreux médias sur le patrimoine : BFM Business, La Tribune, Les Echos, Investir notamment.

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