Bonjour à toutes et à tous sur le blog gestion de patrimoine,
mon intervention sur un placement, non, sur le thème fusion acquisition avec le gérant de Saint Honoré Europe Synergie Olivier Huet (plus de 1,5 milliards d’euros) : peut être une bonne idée en gestion de patrimoine.
L’expression fusion-acquisition (on parle parfois de « fusac », ou de M&A pour Mergers and Acquisitions) recouvre les différents aspects du rachat d’une entreprise par une autre entreprise, dans les domaines de finance d’entreprise, de stratégie d’entreprise et de gestion d’opérations financières. L’entreprise acquise peut conserver son intégrité, ou bien être fusionnée à l’entreprise acquérante. Par extension, la définition comporte également et de plus en plus les opérations de désinvestissements (souvent appelées dans leur terme anglais demerger, spin-off, carve out…). Les fusions-acquisitions qui se font au niveau international sont regroupées sous le sigle FAT (fusions-acquisitions transnationales).
Pour les entreprises cotées en bourse, il peut y avoir opération amicale (accord entre les directions des deux entreprises avant de soumettre le projet aux actionnaires) ou hostile (proposition unilatérale de l’une des entreprises aux actionnaires de l’autre).
Le plus souvent, les fusions et acquisitions sont l’aboutissement d’un accord entre la cible et l’acquéreur, au terme d’un processus de due-diligence ou non, afin d’établir le juste prix pour les deux parties. C’est le cas pour les sociétés non cotées, et donc sur un marché de gré à gré, mais également dans la majeure partie des cas pour les sociétés cotées en bourse. Le processus a l’avantage – en théorie du moins – d’obtenir l’agrément des deux parties.
Toutefois, et essentiellement pour les sociétés faisant appel à l’appel public à l’épargne (bourse), des offres hostiles peuvent être effectuées dans le but d’acquérir une majorité du capital d’un tiers. Le processus peut s’avérer alors plus long (recours juridiques et médiatiques entrepris par la cible, temps pour convaincre les acquéreurs…), plus coûteux (prime de contrôle, budget communication, frais d’avocats et de banques d’affaires plus importants…), et expose l’ensemble des acteurs (couverture médiatique, critiques, fragilisation et perte de crédibilité de l’acheteur potentiel en cas d’échec mais aussi fragilisation de la cible, voir plus bas)
Une offre hostile peut devenir amicale. Ainsi, une offre déclarée non souhaitée ou hostile par son management (Arcelor-Mittal, Saint-Gobain-BPB) peut finalement devenir amicale, lors du consentement des dirigeants.
Plus rarement une offre amicale devient hostile, notamment lorsque la cible trouve un autre acquéreur.
Pour les petites entreprises, il n’existe pas de procédure organisée, mais des conseillers en « reprise d’entreprise » peuvent jouer un rôle d’intermédiaire, de même que des organisations professionnelles (Chambre de commerce…) peuvent recenser les propositions d’acquisition ou cession.
source : wikipédia
Les fusions et acquisition sont un outil utilisé par les entreprises dans le but d’accroître leurs activités économiques et d’augmenter leur profit. On parle alors de croissance externe à l’opposé d’une croissance organique (ou croissance interne) faite par l’augmentation du chiffre d’affaires sur un même périmètre de sociétés.
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Cyril JARNIAS