Cela devrait arriver : le CAC40 a chuté.
On a vraiment le sentiment d’un regain de risque sur les marchés financiers ces dernières semaines.
Si on regarde l’indice VIX CAC40 qui mesure le niveau risque de l’indice parisien : on voit clairement qu’à l’image du graphique du CAC40, rien n’est stable. L’indice de risque sur cet indice revient au niveau de début avril à 14.
Certes ce niveau est relativement faible, on est loin de 25 connus en octobre – novembre de l’année dernière mais on constate une légère tension.
Le CAC40 aura perdu 3% sur la semaine et surtout sur le mois il aura cédé 1% (source : boursorama.com). On peut donc dire que le mois n’aura pas été bon sur l’indice parisien.
Une volatilité qui repart à la hausse pour le CAC40 et 1% de perte sur le mois pour l’indice parisien.
A qui la faute?
Les chiffres américains n’auront pas été bons et sont un prétexte pour prendre des bénéfices pour les opérateurs. Avec une croissance au premier trimestre de seulement de 0,2% estimé contre 1% attendu par les analystes.
Notons en parallèle que cette baisse à entrainer une forte tension sur les taux des dettes des Etats à l’image de la France à connu une hausse de 33% sur la semaine (source : cerclefinance.com)!
On voit bien qu’investir à court terme sur les actions reste complexe : tout est une question de timing. Il en est de même quand on veut se constituer un patrimoine..
D’où l’importe de s’informer sur la gestion de patrimoine, de faire à appel à un bon conseiller en gestion de patrimoine de patrimoine.
Après le CAC40, le bilan de la semaine sur la gestion de patrimoine :
Comme toutes les semaines, je fais une revue de presse sur la gestion de patrimoine.
C’est l’occasion de faire un tour d’horizon sur des thèmes comme la fiscalité, l’immobilier ou par exemple encore les placements dans la presse patrimoniale.
Immobilier :
En matière d’immobilier, on peut organiser efficacement son patrimoine avec l’aide d’une société civile immobilière.
C’est une peu comme un couteau suisse pour gérer votre patrimoine immobilier et le transmettre efficacement.
Une SCI : oui, mais pas pour baisser ses impôts systématiquement.
Maintenant, certains contribuables détournent l’essence même de la SCI pour tenter de valoriser plus faiblement leurs biens fiscalement parlant. C’est notamment un moyenne pour éviter de payer son ISF.
Dans cet article d’agefi actifs : vous allez apprendre si vous allez pouvoir réduire la valeur de votre résidence principale avec une SCI.
Fiscalité :
Pour revenir sur le paiement de son ISF ou impôt de solidarité sur la fortune, on a du mal à imaginer qu’un chef d’entreprise soit obligé de déclarer ses biens professionnels.
La raison paraît évidente.
Ce patrimoine est totalement volatile et il est risqué. Ce que vous évaluerez aujourd’hui n’aura sans doute plus la même valeur à l’avenir.
ISF et bien industriels sont bons amis.
L’entrepreneur prend du risque qu’il prenne une taxe s’il fait des plus-value le jour d’une cession a du sens. Par contre, s’il doit être taxé sur un bien d’entreprise risqué, cela serait un comble.
C’est pour cela que l’on peut, selon lesechos.fr ne pas déclarer des biens industriels dans son ISF.
Placement :
Si vous vous souvenez sur le blog gestion de patrimoine, j’indique qu’un conseiller en gestion de patrimoine ou CGP peut vous aider à trouver les bons placements.
Un conseiller en gestion de patrimoine pour vous aider à trouver les bons placements.
Maintenant, en matière de placement, il n’y a pas que le financier ou l’immobilier.
Il existe le placement plaisir comme l’art : selon artprice.fr, il existe des bons artistes sous les 15000 euros qui peuvent avoir du potentiel pour un investisseur qui a du temps devant lui.
Comme je ne le cesse de le dire sur le blog gestion de patrimoine : un patrimoine, c’est avant tout de la diversification.
le CAC40 : j’y vais ou j’y vais pas?
J’ai bien envie de dire : tant que l’argent n’est pas chère, tant que les taux sont bas, tant que les banques centrales européennes…
Vous voyez où je veux en venir?
La hausse risque de continuer tant qu’on ne reviendra pas aux fondamentaux économiques et aux sources réelles de la croissance.
Nous vivons dans un environnement “artificiel” : il est complexe d’évaluer la valeur et le risque des actions financiers car l’argent n’a plus vraiment de valeur.
On sait très bien que le sans risque, la dette d’Etat (en théorie peu risquée) ne rapporte plus rien.
On devrait donc n’avoir de choix que l’achat d’actions ou de dettes plus risquées comme le high yield pour espérer trouver mieux que les 1% de son livret A…
Doit-on acheter des actions pour augmenter son patrimoine?
Les épargnants comme toujours arrivent au dernier moment sur les marchés financiers et ils se font souvent “plumer”.
On doit considérer, à l’image des actions dans son PEA, que c’est la partie de son patrimoine la plus risquée.
Donc, si on peut prendre du risque, cela dire que l’on pourrait en avoir une faible proportion.
Vous voyez par cet exemple que choisir un placement, ce n’est pas simple et que vous avez besoin d’expertise.
Au lieu de chercher sans tout comprendre sur la toile, prendre des risques inconsidérés, pourquoi ne pas faire appel à mes services pour analyser et comprendre votre patrimoine?