L’année 2011 sur les marchés financiers aura été principalement focalisée sur la crise européenne.
Je voulais faire un zoom sur ces pays et leurs économies sur le blog gestion de patrimoine.
Le différentiel de performances entre les meilleurs fonds de placements internationaux OPCVM et SICAV et les meilleurs fonds de placement européens semble réel.
On constate (source : quantalys) des écarts entre 5 et 10 points entre ces 2 types de fonds. L’an dernier : le constat était encore plus flagrant : l’investisseur gagnait clairement de l’argent quand il était sur des fonds internationaux. En 2011, il perd moins mais ne gagne pas s’il est investi depuis le début de l’année 2011.
Quoi qu’il en soit c’est toujours mieux de perdre moins!
Qu’en est il des fonds émergents? Ce placement est il à préconiser?
J’ai eu l’occasion de montrer qu’ils avaient baissé comme les fonds européens (cf cet article : cliquez ici) mais surtout que sur un an glissant : ils avaient des niveaux de risque identiques!
Si l’on en croit le journal le Monde, dans cet article du 131211, il faut savoir zoomer sur ces pays et voir ce qu’il se passe plus en détail : l’article met en avant 4 points.
Un décénnie spectaculaire
Des avantages structurels
Des faiblesse révélées par la crise
Un atterrissage en douceur ou un retournement de conjoncture.
L’article conclu avec cette phrase lourde de sens : ” Mais, contrairement aux économies développées, les marges de manœuvre sont plus nombreuses : avec des taux directeurs à 11 % et des mesures de relance en préparation, Brasilia a encore plusieurs leviers à actionner, surtout avec un taux de chômage qui ne dépasse pas les 6 %. De quoi faire rêver Barack Obama, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel et David Cameron réunis.”
Pour résumer, les pays émergents ont encore du potentiel, avis aux pros de la gestion de patrimoine pour les suggérer par exemple avec des OPCVM.
Souvenez-vous ce qu’est la gestion de patrimoine (source : gestion de patrimoine . org) “La gestion de patrimoine est un procédé par lequel les biens d’un individu ou d’une entreprise sont évalués afin d’optimiser leur usage.
En effet, lorsqu’une personne est en possession d’un certain nombre de biens, que ce soit des biens immobiliers ou mobiliers, ou des biens de propriété intellectuelle, ceux-ci sont soumis à des prélèvements fiscaux. Plus l’individu détient un grand nombre de biens, plus il aura à payer des impôts plus élevés pour avoir le droit de posséder ceux-ci.
Lorsque ce même individu va transmettre son bien à ses enfants en héritage, il va devoir payer des droits de mutation et de succession. Et les revenus réguliers comme les intérêts, les loyers, les dividendes, ainsi que les plus-values de cession, sont sujets à des prélèvements fiscaux à l’intérieur de l’impôt sur le revenu.”
Alors, vous avez envie de faire de la gestion de patrimoine?
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Cyril JARNIAS