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Créer sa société en Chine : Hong Kong ou continent, le guide complet pour faire le bon choix

Publié le 5 octobre 2025
Créer sa société en Chine : Hong Kong ou continent, le guide complet pour faire le bon choix

Vous envisagez de développer votre activité en Chine et vous vous demandez par où commencer ? Cette question cruciale mérite une réponse éclairée, car votre choix initial conditionnera le succès de votre implantation. Entre Hong Kong et la Chine continentale, les différences sont substantielles et peuvent faire la différence entre un projet florissant et des complications coûteuses.

Tableau de bord comparatif

Dans un contexte où la Chine représente désormais 18% de l’économie mondiale et Hong Kong reste la 4ème place financière internationale, cette décision stratégique influence directement votre rentabilité, vos obligations fiscales et votre capacité d’expansion. Les récentes évolutions réglementaires de 2024-2025, notamment l’accord CEPA 2.0 et la nouvelle loi chinoise sur l’investissement étranger, modifient considérablement la donne.

Ce guide vous accompagne dans cette réflexion en analysant tous les aspects pratiques, financiers et stratégiques. Vous découvrirez non seulement les chiffres et réglementations, mais aussi comment ces éléments s’articulent avec vos objectifs personnels et professionnels.

Disclaimer :

Les informations présentées dans cet article, notamment les chiffres et analyses comparatives, le sont à titre indicatif et peuvent varier en fonction des fournisseurs, de la complexité du projet, de la conjoncture économique et de votre situation personnelle. Ces données ne constituent en aucun cas un conseil financier, juridique ou personnalisé. Il est fortement recommandé de consulter un professionnel qualifié et de réaliser une étude détaillée adaptée à vos besoins spécifiques avant de prendre toute décision d’investissement.

N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus.

Le contexte réglementaire : deux systèmes, deux philosophies

Le contexte réglementaire : deux systèmes, deux philosophies

Comprendre le cadre réglementaire constitue la première étape de votre réflexion, car il détermine concrètement ce que vous pourrez faire et comment vous devrez vous y prendre. Hong Kong et la Chine continentale évoluent dans des univers juridiques distincts, chacun avec ses avantages et ses contraintes.

Hong Kong bénéficie du principe “Un pays, deux systèmes” qui lui garantit une autonomie juridique jusqu’en 2047. Ce statut particulier signifie que vous évoluez dans un environnement de common law, hérité du système britannique, avec des procédures claires et des délais prévisibles. Concrètement, cela se traduit par une protection renforcée de vos droits de propriété, une justice indépendante et des règles stables que vous pouvez anticiper sur le long terme.

En Chine continentale, le système de droit civil s’appuie sur des codes précis mais évolutifs. La modernisation récente du cadre légal, notamment avec la Loi sur l’investissement étranger de 2019, simplifie considérablement les démarches. Le nouveau principe “traitement national pré-établissement plus liste négative” révolutionne l’approche : au lieu d’autoriser spécifiquement chaque secteur, la Chine interdit désormais seulement 29 activités spécifiques, laissant tout le reste ouvert aux investisseurs étrangers.

Cette évolution majeure change la donne psychologiquement : vous n’êtes plus dans une logique de demande d’autorisation mais dans une approche de libre entreprise, sauf restrictions explicites. Pour un entrepreneur habitué aux standards occidentaux, cette transformation rend l’environnement chinois beaucoup plus accessible et rassurant.

La différence fondamentale réside dans la philosophie d’approche : Hong Kong privilégie la simplicité et la prévisibilité, tandis que la Chine continentale mise sur l’efficacité économique avec un cadre plus structuré. Votre tempérament entrepreneurial et votre tolérance au risque administratif vous guideront naturellement vers l’une ou l’autre option.

Tableau comparatif des systèmes juridiques :

  • Hong Kong : Common law britannique, Procédures en anglais, Justice indépendante, Stabilité jusqu’en 2047
  • Chine continentale : Droit civil chinois, Procédures en mandarin, Justice d’État, Évolutions rapides

Schéma d'optimisation fiscale

Bon à savoir :

Une société hongkongaise est considérée comme étrangère en Chine continentale, et inversement. Vous ne pouvez donc pas opérer directement d’une juridiction à l’autre sans créer une entité locale.

Analyse comparative des coûts : investissement initial et charges récurrentes

Analyse comparative des coûts : investissement initial et charges récurrentes

L’aspect financier influence directement la faisabilité de votre projet, surtout si vous démarrez avec un budget limité. La différence de coûts entre Hong Kong et la Chine continentale peut représenter un facteur décisif, d’autant plus que les écarts sont considérables.

Pour créer votre société à Hong Kong, comptez environ au départ 1000 à 1 500 euros au total. Cette somme couvre les frais gouvernementaux (140 euros pour l’enregistrement électronique), le certificat d’immatriculation commerciale (264 euros valable un an), et les services obligatoires de secrétaire d’entreprise (300 à 600 euros annuels). Le processus complet prend 1 à 5 jours ouvrables, vous permettant de commencer votre activité presque immédiatement. Au total : vous devez compter de l’ordre de 5000 euros pour tout mettre en place compte bancaire, domiciliation, société …, frais d’avocat en français.

En Chine continentale, l’investissement initial pour une WFOE (entreprise entièrement étrangère) s’élève entre 15000 et 19500 euros. Cette somme inclut les frais gouvernementaux (270 à 730 euros), les services juridiques et notariaux (910 à 2730 euros), la location obligatoire d’un bureau, et les services comptables de mise en conformité (1360 à 3640 euros par an). Le processus s’étale sur 3 à 6 mois, nécessitant patience et planification.

Ces différences de coûts reflètent la complexité respective des systèmes. Hong Kong mise sur l’efficacité et la rapidité pour attirer les entrepreneurs, tandis que la Chine privilégie le contrôle et la structuration, générant naturellement plus de frais administratifs.

Au-delà de l’investissement initial, les charges récurrentes varient également. À Hong Kong, vos obligations se limitent à une déclaration fiscale annuelle et au renouvellement du certificat d’immatriculation. En Chine, vous devez prévoir des déclarations fiscales mensuelles, des rapports sociaux trimestriels et des audits annuels obligatoires, multipliant les coûts de gestion.

Pour un entrepreneur débutant ou une PME, cette différence de coûts peut déterminer la faisabilité même du projet. Hong Kong permet de démarrer avec un investissement minimal et d’ajuster progressivement selon le développement de l’activité.

Bloc statistiques – Coûts comparatifs :

Comparaison de la Chine avec Hong Kong

Bon à savoir :

Le capital minimum à Hong Kong n’est pas vérifié lors de la création, vous donnant une flexibilité totale pour démarrer votre activité sans immobiliser de fonds importants.

Avantages fiscaux et optimisation : maximiser votre rentabilité

Avantages fiscaux et optimisation : maximiser votre rentabilité

La fiscalité représente souvent le nerf de la guerre pour les entrepreneurs, et les différences entre Hong Kong et la Chine continentale sont particulièrement marquées. Comprendre ces mécanismes vous permettra d’optimiser légalement votre charge fiscale et d’améliorer significativement votre rentabilité.

Hong Kong applique un système fiscal territorial révolutionnaire : seuls les profits générés localement sont imposables. Concrètement, si vous vendez des produits fabriqués en Chine à des clients européens via votre société hongkongaise, ces bénéfices peuvent être exonérés d’impôt s’ils sont considérés comme générés hors de Hong Kong. Le taux d’imposition reste par ailleurs très attractif : 8,25% sur les premiers 2 millions de dollars hongkongais (240 000 euros) de bénéfices, puis 16,5% au-delà.

Cette structure fiscale territorial vous offre des possibilités d’optimisation considérables, particulièrement si votre activité implique du commerce international ou de la prestation de services dématérialisés. L’absence de TVA, de taxe sur les plus-values et de contrôle des changes complète cet environnement favorable.

En Chine continentale, le système fiscal est plus traditionnel avec un taux standard de 25% sur l’impôt sur les sociétés, auquel s’ajoutent la TVA (6 à 13% selon les produits) et diverses taxes locales. Cependant, des avantages spécifiques compensent partiellement cette charge : les remboursements de TVA à l’exportation peuvent atteindre 13%, et les entreprises high-tech bénéficient souvent de taux préférentiels.

La vraie opportunité réside dans la combinaison intelligente des deux systèmes. Les multinationales utilisent couramment une structure avec un holding hongkongais gérant les activités internationales et une filiale chinoise pour les opérations locales. Cette approche permet de réduire le taux d’imposition effectif global de 25% (Chine seule) à environ 18-20% combiné.

Pour vous projeter concrètement, imaginez que votre activité génère 100 000 euros de bénéfices annuels. À Hong Kong uniquement, vous paierez environ 8 250 euros d’impôts. En Chine uniquement, la facture s’élèvera à 25000 euros. Avec une structure optimisée, vous pourriez descendre à 18000-20000 euros tout en conservant l’accès au marché chinois.

Cette optimisation nécessite cependant une structuration rigoureuse et le respect de règles de substance économique. Vous ne pouvez pas créer une société hongkongaise fantôme uniquement pour l’optimisation fiscale. Il faut une activité réelle, des employés et des décisions effectives prises à Hong Kong.

Bloc statistiques – Comparaison fiscale :

Comparaison fiscale Hong Kong et Chine

Bon à savoir :

L’accord de non-double imposition entre Hong Kong et la Chine permet d’éviter la double taxation sur les dividendes, réduisant le taux de retenue à la source de 10% à 5% sous certaines conditions.

Accès au marché et restrictions : comprendre les opportunités

Accès au marché et restrictions : comprendre les opportunités

L’accès au marché constitue généralement l’objectif final de votre implantation, et les différences d’approche entre Hong Kong et la Chine continentale influencent directement vos possibilités de développement. Chaque option ouvre des portes spécifiques tout en en fermant d’autres.

Hong Kong vous offre une liberté entrepreneuriale quasi totale sans restrictions sectorielles. Vous pouvez développer n’importe quelle activité légale sans partenariat local obligatoire ni limitation de participation étrangère. Cette liberté s’accompagne d’un accès privilégié au marché chinois via l’accord CEPA (Closer Economic Partnership Arrangement), récemment renforcé par les mesures 2025.

L’accord CEPA vous donne accès à 47 secteurs de services en Chine continentale avec des conditions préférentielles : réduction des seuils d’entrée, exemption de certaines restrictions et procédures simplifiées. Pour les produits, l’exemption tarifaire s’applique aux biens hongkongais respectant les règles d’origine CEPA. Cette ouverture progressive vous permet de tester le marché chinois depuis Hong Kong avant d’envisager une implantation directe.

Cependant, une société hongkongaise ne peut pas opérer directement en Chine continentale. Vous devez créer une filiale ou succursale locale, ce qui implique des coûts et procédures supplémentaires. Cette contrainte peut frustrer les entrepreneurs pressés d’accéder immédiatement au marché chinois.

La Chine continentale vous donne un accès direct au marché local de 1,4 milliard de consommateurs. Vous pouvez embaucher directement des employés locaux, obtenir des licences d’import-export, émettre des factures en renminbi et accéder aux programmes gouvernementaux de soutien aux entreprises. Cette proximité opérationnelle facilite grandement le développement commercial.

Les restrictions sectorielles, bien qu’en diminution, concernent encore 29 secteurs via la liste négative 2024. Les principales limitations touchent les services financiers, les télécommunications, les médias et certains secteurs stratégiques. Pour la plupart des activités commerciales, industrielles ou de services aux entreprises, l’accès est désormais libre.

Psychologiquement, cette évolution change votre rapport au marché chinois. Au lieu de chercher des contournements ou des partenariats imposés, vous pouvez développer votre stratégie commerciale naturellement, comme sur n’importe quel autre marché développé.

Bloc statistiques – Accès marché :

Restrictions sur les comparaisons

Bon à savoir :

Les nouvelles mesures CEPA 2025 suppriment l’exigence de trois ans d’exploitation à Hong Kong pour bénéficier des avantages préférentiels en Chine, accélérant votre accès au marché continental.

Stratégies d’implantation optimales : choisir selon votre profil

Stratégies d'implantation optimales : choisir selon votre profil

Le choix entre Hong Kong et la Chine continentale dépend intimement de votre profil entrepreneurial, de vos ressources et de vos objectifs. Plutôt que d’imposer une solution unique, l’approche optimale consiste à aligner votre stratégie sur vos spécificités personnelles et professionnelles.

Pour les entrepreneurs débutants ou les PME avec des budgets limités, Hong Kong représente souvent la solution idéale. L’investissement initial réduit (5000 euros contre 15 000-19 500 euros) vous permet de tester votre concept sans risquer des fonds considérables. La simplicité administrative libère votre énergie pour le développement commercial plutôt que pour la gestion bureaucratique.

Cette approche convient particulièrement si vous développez des activités de services, de conseil, de propriété intellectuelle ou de trading international. Hong Kong excelle dans ces domaines grâce à son environnement juridique stable et ses connexions financières mondiales. Vous pouvez commencer modestement et élargir progressivement vers la Chine via les avantages CEPA.

Psychologiquement, commencer par Hong Kong réduit le stress lié à l’expatriation entrepreneuriale. L’usage de l’anglais, la familiarité des procédures et la transparence réglementaire créent un environnement rassurant pour une première expérience asiatique. Cette confiance facilite les premières étapes cruciales de votre développement.

Pour les entreprises industrielles ou celles nécessitant un accès immédiat au marché de consommation chinois, la Chine continentale s’impose naturellement. Si votre business model repose sur la production locale, la distribution physique ou l’emploi de main-d’œuvre chinoise, les avantages d’un accès direct compensent les complexités administratives initiales.

Les grandes entreprises ayant les ressources pour gérer la complexité peuvent adopter d’emblée une structure hybride : holding hongkongais pour l’optimisation fiscale et la gestion financière, filiale continentale pour les opérations locales. Cette approche maximise les avantages des deux juridictions mais nécessite une expertise juridique et fiscale approfondie.

La stratégie de montée en puissance progressive séduit de nombreux entrepreneurs avisés. Vous commencez par Hong Kong pour établir votre présence régionale, développer vos réseaux et comprendre les spécificités culturelles. Une fois votre activité stabilisée et vos besoins chinois clairement identifiés, vous créez une filiale continentale en position de force.

Cette approche présente plusieurs avantages psychologiques : elle réduit l’incertitude initiale, permet un apprentissage progressif et évite les erreurs coûteuses de précipitation. Vous construisez votre confiance étape par étape plutôt que de vous confronter immédiatement à tous les défis simultaneously.

Bloc statistiques – Profils recommandés :

Recommandation en fonction du profil d'entrepreneur

Bon à savoir :

Vous pouvez modifier votre structure ultérieurement sans pénalités majeures. Commencer simple et évoluer selon vos besoins reste souvent plus sage que de sur-complexifier dès le départ.

Évolutions 2024-2025 et perspectives : anticiper l’avenir

Évolutions 2024-2025 et perspectives : anticiper l'avenir

Les évolutions réglementaires récentes modifient substantiellement l’équation stratégique entre Hong Kong et la Chine continentale. Comprendre ces changements vous permet d’anticiper les opportunités futures et d’adapter votre stratégie aux nouvelles réalités du marché.

La Chine a introduit plusieurs mesures facilitatrices en 2025 qui transforment l’expérience entrepreneuriale étrangère. La suppression de l’obligation d’enregistrement pour les dépenses préalables à la création élimine une source majeure de complications administratives. Les nouvelles procédures de réinvestissement domestique simplifient considérablement l’expansion locale des entreprises étrangères déjà implantées.

L’ouverture complète du secteur manufacturier aux investisseurs étrangers représente une révolution historique. Tous les sous-secteurs manufacturiers acceptent désormais 100% de participation étrangère, éliminant les contraintes de partenariat qui freinaient auparavant les projets industriels. Cette évolution positionne la Chine comme destination manufacturière de choix pour les entreprises occidentales.

L’accord CEPA 2.0 de mars 2025 transforme également les perspectives hongkongaises. L’élargissement à 47 secteurs de services et la réduction des seuils d’entrée facilitent l’accès au marché chinois depuis Hong Kong. Plus significativement, la suppression de l’exigence de trois ans d’exploitation préalable accélère considérablement les possibilités d’expansion.

Ces évolutions convergent vers une facilitation générale des investissements étrangers, tant à Hong Kong qu’en Chine continentale. La compétition entre les deux juridictions pour attirer les entrepreneurs internationaux se traduit par des améliorations constantes des conditions d’accueil.

Du point de vue psychologique, ces changements réduisent l’anxiété liée à l’implantation en Chine. Les procédures deviennent plus prévisibles, les délais plus courts et les exigences plus claires. Cette évolution favorable encourage une approche plus offensive de l’expansion asiatique.

Les perspectives à moyen terme suggèrent une poursuite de cette libéralisation progressive. La concurrence internationale pour attirer les investissements pousse les autorités chinoises et hongkongaises à innover constamment dans l’amélioration de l’environnement des affaires.

Pour vous projeter concrètement, ces évolutions signifient que les obstacles traditionnels s’amenuisent progressivement. Le choix entre Hong Kong et la Chine continentale devient moins contraignant et plus stratégique, vous donnant une latitude accrue pour optimiser votre approche selon vos objectifs spécifiques.

Bloc statistiques – Évolutions récentes :

Réforme timeline

Bon à savoir :

Les réformes actuelles tendent vers une harmonisation progressive des standards. Il devient de plus en plus facile de basculer d’une structure à l’autre selon l’évolution de vos besoins commerciaux.

Conclusion : votre décision éclairée

Conclusion : votre décision éclairée

Le choix entre Hong Kong et la Chine continentale n’est pas une décision définitive mais une étape stratégique dans votre développement international. Chaque option présente des avantages distincts qui correspondent à des phases différentes de votre parcours entrepreneurial.

Hong Kong excelle comme porte d’entrée vers l’Asie : coûts maîtrisés, simplicité administrative, optimisation fiscale et accès progressif au marché chinois via CEPA. Cette approche convient particulièrement aux entrepreneurs débutants en Asie, aux PME et aux activités de services.

La Chine continentale s’impose pour l’accès direct au marché local, les projets industriels et les entreprises disposant des ressources pour gérer la complexité initiale. Les récentes réformes facilitent considérablement cette option.

L’approche hybride reste optimale pour les entreprises ambitieuses capables de structurer intelligemment leurs opérations entre optimisation fiscale hongkongaise et développement commercial continental.

FAQ

FAQ

Puis-je commencer par Hong Kong puis créer une filiale en Chine ?
Absolument, c’est même recommandé pour la plupart des entrepreneurs. Cette approche progressive permet d’apprendre le marché avant d’investir massivement.

Combien de temps faut-il résider sur place ?
Aucune obligation de résidence pour Hong Kong. En Chine, le représentant légal doit être présent pour les démarches importantes mais pas nécessairement résider en permanence.

Les évolutions politiques affectent-elles ces avantages ?
Les avantages économiques et fiscaux sont préservés par les accords internationaux. Hong Kong conserve son autonomie commerciale jusqu’en 2047 minimum.

Peut-on transférer une société d’une juridiction à l’autre ?
Non, il faut créer une nouvelle entité. Cependant, vous pouvez transférer les actifs et activités selon les règles fiscales applicables.

Quel budget prévoir au-delà des coûts de création ?
Comptez 6 à 12 mois de charges opérationnelles : bureau, comptabilité, marketing. Soit 10 000-25 000 euros selon la juridiction et l’ambition du projet.

Chaque situation entrepreneuriale est unique et mérite une analyse personnalisée prenant en compte vos objectifs, ressources et contraintes spécifiques. Pour bénéficier d’une étude détaillée de votre projet et des recommandations adaptées à votre profil, n’hésitez pas à me contacter pour un accompagnement sur mesure dans votre expansion asiatique.

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Je suis Cyril Jarnias, expert en gestion de patrimoine indépendant depuis plus de 20 ans. J’aide particuliers et chefs d’entreprise à « Construire, protéger et transmettre votre patrimoine en toute sérénité ». J’interviens dans de nombreux médias sur le patrimoine : BFM Business, La Tribune, Les Echos, Investir notamment.

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